Depuis 2016, nous, SOS MEDITERRANEE, répondons à un principe simple, universel et inaltérable : porter secours aux personnes en détresse en mer.
Chaque jour, en Méditerranée centrale, l’une des routes migratoires les plus meurtrières au monde, des femmes, des hommes et des enfants risquent la noyade dans l’indifférence générale.
Face à leur détresse, l’Europe détourne le regard.
Les États côtiers se désengagent et, par des politiques de repli, entravent l’action des navires humanitaires : attribution de ports sûrs éloignés, impossibilité d’effectuer plusieurs sauvetages à la suite, entraves administratives.
Tout est mis en œuvre pour limiter notre présence en mer, augmenter les coûts logistiques de notre mission et priver ainsi la Méditerranée de ses rares ressources de sauvetage.
Les conséquences sont tragiques : les morts s’accumulent, année après année. Depuis 2014, plus 31 700 personnes ont disparu en mer.
Non pas par fatalité, mais faute de secours.
Ce macabre constat est en total contradiction avec le droit maritime international, qui impose de porter assistance à toute personne en détresse en mer et de garantir un débarquement rapide dans un lieu sûr.
Aujourd’hui, ce devoir fondamental est ignoré.
Le droit d’être secouru ne dépend ni du passeport, ni du statut migratoire, ni du contexte politique.
Secourir une vie est un impératif inconditionnel.
Une exigence morale.
Un devoir d’humanité.
Nous refusons que la Méditerranée demeure un cimetière invisible. Nous demandons aux États de :
Parce qu’aucune vie ne mérite de sombrer dans l’oubli.
Répondez à ce S.O.S. !
Signez cet appel pour défendre l’inconditionnalité du sauvetage en mer.
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Face à leur détresse, l’Europe détourne le regard.
Les États côtiers se désengagent et, par des politiques de repli, entravent l’action des navires humanitaires : attribution de ports sûrs éloignés, impossibilité d’effectuer plusieurs sauvetages à la suite, entraves administratives.
Tout est mis en œuvre pour limiter notre présence en mer, augmenter les coûts logistiques de notre mission et priver ainsi la Méditerranée de ses rares ressources de sauvetage.
Les conséquences sont tragiques : les morts s’accumulent, année après année. Depuis 2014, plus 31 700 personnes ont disparu en mer.
Non pas par fatalité, mais faute de secours.
Ce macabre constat est en total contradiction avec le droit maritime international, qui impose de porter assistance à toute personne en détresse en mer et de garantir un débarquement rapide dans un lieu sûr.
Aujourd’hui, ce devoir fondamental est ignoré.
C’est pourquoi nous lançons un appel.
Un appel à la raison.
Un appel à la conscience.
Un appel à celles et ceux qui refusent l’indifférence.
Le sauvetage en mer est une obligation légale.
Le droit d’être secouru ne dépend ni du passeport, ni du statut migratoire, ni du contexte politique.
Secourir une vie est un impératif inconditionnel.
Une exigence morale.
Un devoir d’humanité.
Nous refusons que la Méditerranée demeure un cimetière invisible. Nous demandons aux États :
De reconnaître et faire respecter l’obligation légale de porter assistance à toute personne en détresse en mer, conformément au droit maritime international ;
De mettre en place une coordination efficace des opérations de sauvetage ;
Et de garantir un débarquement rapide dans un lieu sûr, comme le prévoit le droit international.
Parce qu’aucune vie ne mérite de sombrer dans l’oubli.
Répondez à ce S.O.S. !
Signez cet appel pour défendre l’inconditionnalité du sauvetage en mer.